Puis, Tribune de Saint Gervais, novembre 1909, p. 255. Merci au site The Internet Archive de San Francisco, souvent utilisé.
Lecteurs de ce blog !
Les images mystérieusement liées à Charles Bordes sont publiées une fois par mois. Pour le moment, c'est tout ce que ce blog apporte de nouveau. Le but de ces images est d'empêcher la publicité en les faisant paraître avec une fréquence suffisante ; non que je sois contre la publicité dans l'absolu, mais j'aime être le seul responsable des choix qui sont faits. OverBlog, la plateforme dont j'utilise les services, vient de me prévenir qu'il y aura toujours de la publicité. Mes illustrations soigneusement choisies seront juxtaposées à d'autres dont je n'aurai aucune responsablité. La lecture des textes proposés dans le blog sera rendue très difficile. Je n'y suis pour rien. Ce blog continue.]
La fraîcheur tiède de l'air sentait la pluie prochaine ; des branches tendres retombaient ; on entendait roucouler une tourterelle invisible. Je crois bien n'avoir jamais connu qualité plus légère ni plus tranquille de bonheur.
François-Paul Alibert, Charles Bordes à Maguelonne, 1926, p. 59.
Le blog se termine avec ce 90ème billet.
Une lettre, envoyée aux lecteurs, a dit pourquoi.
Tous les mois, un billet "anti-pub" viendra sur ce blog. Il aura toujours un rapport, quelquefois mystérieux, avec Charles Bordes. Ainsi les anciens billets pourront être lus, si on le veut, en cliquant une catégorie (par exemple, mélodies) ou en tapant un mot (par exemple, Proust) dans la case "recherche".