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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 17:42

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Dans la notice Sur le tombeau de Charles Bordes parue dans la Nouvelle Revue Française en décembre 1909, Victor Gastilleur écrit :

Il vivait à Montpellier dans un petit mas tout fleuri avec ses colombes, ses chats, son piano et ses amis. 

Charles Bordes aimait les chats…

C'est une coïncidence, mais ce blog commence aujourd'hui qui est, pour les Vietnamiens, le début de l'année du chat.

En voici donc quelques-uns. Ils ont été peints, en ce début du 20e siècle par Gwen John. Sur cette Galloise qui vivait en France dans l'ombre de Rodin, cliquez ici, vous en saurez un peu plus. Elle avait appellé un de ses chats "Edgar Quinet", car elle vivait près de la station de métro qui porte ce nom.

 

John--Gwen--Cat--1904-8--TG.jpg

 

Les aquarelles proviennent de la Tate Gallery à Londres.

 

Ici, nous n'en dirons pas plus sur ce peintre. Elle vivait dans un autre monde que Charles Bordes, mais il y a entre eux une communauté spirituelle évidente, outre leur proximité géographique et temporelle.

 

 

 

 

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 17:26

Quelques mots pour vous permettre une navigation agréable sur ce blog. Ce n'est pas un dictionnaire Charles Bordes. Il y a des billets qui abordent divers aspects du compositeur et qui sont déposés ici avec le passage du temps. N'essayez pas de tout lire à la fois. Si vous souhaitez de l'ordre et un peu de structure, voyez les catégories dont la liste est donnée en haut de la page à droite : accueil, sources, biographie, Pays basque, mélodies, environs, etc…

Les mots soulignés sont des liens. Ils renvoient à d'autres billets de ce blog (liens internes) ou quelque part sur Internet (liens externes). N'hésitez pas à cliquer sur ces liens. C'est un surf que l'auteur de ce blog vous suggère. Vous connaissez tout cela ; faites quand même un essai : cliquez sur le mot lien, et vous serez aussi savant que moi.

S'agissant des liens externes, ayez toujours votre esprit critique en éveil : on trouve de tout sur Internet.

Vous verrez en bas (presque) à droite de la page d'écran une rubrique appelée "liens" précisément. Il y a là un certains nombre de sites Internet que j'aime ou qui peuvent être utiles. On peut s'y reporter de temps en temps, pour une plongée dans le monde de Charles Bordes ou pour être informé de l'actualité.

Si vous voulez être prévenu de l'arrivée d'une nouveauté, sur ce blog ou ailleurs, vous pouvez vous constituer un agrégateur (par exemple Netvibes : pub gratuite) où figureront vos favoris.

 

Autant que possible, l'origine des illustrations est indiquée. Certaines photos sont copyright, ainsi que le texte des billets.

Après la lecture d'un billet, vous pouvez faire un commentaire. S'il n'est pas offensant, il sera publié tel quel : l'auteur de ce blog  n'exerce pas de censure.

 

Ce mode d'emploi vous sera resservi dans quelques temps, peut-être modifié. Lire un blog, ce n'est pas bien compliqué, mais les enseignants vous diront qu'il faut répéter, même les choses simples, sans se lasser.

 

Bonne lecture, bons clics, bon surf.

 

 

 

 

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 11:43

Dans le Madrigal à la musique, mélodie chorale de Charles Bordes créée le 15 février 1896, on lit ces vers de Shakespeare traduits par Maurice Bouchor :  

 

Tu fais cela, musique ! Et ta puissance est telle

Que la peine du cœur, oui, la peine mortelle

Meurt ou s'endort lorsqu'il te plaît.

 

Shakespeare avait écrit (mais c'était peut-être John Fletcher, ça se discute) dans Henry VIII (acte III, scène 1) pour la fin de son poème à Orphée :

 

In sweet music is such art:

Killing care and grief of heart

Fall asleep, or, hearing, die.

 

Il me plaît de commencer ainsi ce blog.

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